Spoilers à venir. Ce sont les créations cinématographiques les plus terrifiantes de 2021.
Les monstres de cinéma sont le sous-produit de phobies collectives et d'imaginations admirablement tordues. La peur inhérente à l'inconnu conduit souvent les cinéastes à plonger dans les recoins de leur subconscient pour combler les vides. Qu'il s'agisse d'une manifestation de traumatismes passés, d'une allégorie de l'époque ou simplement d'un design hideux, les monstres du cinéma continuent de vivre gratuitement dans l'esprit du créateur et du spectateur.
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En prévision des prochaines sorties 2022 telles que Jordan Peele Nan et 'Predator' de Dan Trachtenberg redémarrer Proie , la liste suivante rappelle les créatures les plus bizarres de l'année écoulée. Des interprétations modernes du mythe et du folklore au cancer littéral, ce sont les monstres de cinéma les plus effrayants de 2021.
Godzilla (Godzilla contre Kong)
La force emblématique de la nature détient son titre de 'roi des monstres' grâce à l'utilisation époustouflante de CGI et d'animation par images clés. Bien que d'autres incarnations telles que Shin Godzilla et GMK ont dépeint le titan comme plus sinistre et sans compromis, le Monsterverse-Zilla a une qualité photoréaliste effrayante complétée par ses comportements animaliers.
Les dragons et les ours de Komodo ont été modélisés pour leurs féroces techniques de combat. Les alligators et les baleines ont été étudiés pour représenter de manière crédible les qualités amphibies du lézard massif selon le superviseur Scanline VFX, Bryan Hirota, dans un répartition des effets visuels par 3dtotal Publishing . Alors que le kaiju manœuvre dans l'eau, ses nageoires dorsales incisives émergent à la surface, invoquant un véritable sentiment de danger.
Valentin (Armée des Morts)
Alors que le thriller policier zombie de Zack Snyder, Armée des morts , n'a peut-être pas été le braquage le plus réussi, il a offert des images sauvages. Exemple : le tigre zombifié de Vegas nommé « Valentine ». Il a été révélé à Escroquerie de justice que le superviseur VFX Marcus Taormina a modelé Valentine d'après le vrai Sapphire, un tigre au Big Cat Rescue de Carole Baskin à Tampa, en Floride.
Avec sa fourrure tachée de sang et sa chair en décomposition, exposant des morceaux de crâne et de viscères, Valentine est la preuve que la seule chose plus redoutable qu'un animal sauvage est un animal réanimé par un virus. Sa force et ses réflexes déjà impressionnants sont améliorés; illustré dans une scène dans laquelle le prédateur au sommet mutile brutalement le chef de la sécurité avant de lui écraser la tête entre ses mâchoires.
Ītzpāpālōtl (Personne ne sort vivant)
Un immigrant à la recherche du rêve américain est confronté à un cauchemar aztèque dans le drame d'horreur sous-estimé Personne n'en sort vivant. Les thèmes sociopolitiques du film sont, en effet, inquiétants, mais la présence surnaturelle qui apparaît dans le dernier tiers est une entité particulièrement dérangeante.
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Keith Thompson, le créateur de créatures derrière le mastodonte de Le Rituel, reconceptualise la nature troublante et abstraite de la déesse mythique, Ītzpāpālōtl, également connue sous le nom de «papillon d'obsidienne». Se nourrissant de leur traumatisme, la divinité dévore rituellement ses pauvres sacrifices involontaires. Avec ses mâchoires béantes, ses membres disproportionnés et sa peau drapée et altérée, l'apparence de la légende semblable à un papillon est difficile à décrire mais presque impossible à éradiquer de l'esprit.
Ram Man (Agneau)
La parentalité est une bénédiction, une malédiction et un troupeau d'absurdités dans cette sombre fable islandaise. Lorsqu'un étrange jeune hybride humain-mouton est accordé à un couple marié solitaire vivant dans une ferme, les instincts parentaux et les secrets du passé commencent à faire surface. Rien ne peut cependant les préparer à une rage paternelle qui chasse d'au-delà du désert.
Le cadre hivernal et isolé et la poignée de performances convaincantes (des humains et des animaux, de la même manière) créent un sentiment inquiétant d'appréhension. Se cachant au milieu de la campagne enneigée, l'entité mystificatrice est supposée être le père biologique du «lam-brid» susmentionné, bien qu'elle soit ouverte à l'interprétation. A24 agneau se termine par un acte de vengeance choquant qui sert de rappel effrayant pour ne pas perturber l'ordre naturel.
Starro (La brigade suicide)
Si la taille de cette étoile de mer cosmique colorée ne génère pas de terreur à première vue, ses capacités asexuées ne manqueront pas d'imprégner des sentiments d'effroi. Lâchant son arsenal de spores parasites, le méchant de James Gunn La brigade suicide expose sa méthode déconcertante de contrôle mental sur les civils de Corto Maltese.
Avec son style cinématographique fermement ancré dans Troma, Gunn équilibre magistralement le ridicule et le répréhensible. Une fois qu'un humain devient un hôte, la transformation est irréversible, car un horrible moment d'horreur corporelle révèle ce qui se passe si le visage est retiré. Encore plus révélateurs sont les derniers mots tragiques du méchant qui font allusion à un être beaucoup plus sensible capable de réflexion existentielle.
Ver des sables (Dune)
L'impensable a été réalisé lorsque Dennis Villeneuve a adapté le classique de science-fiction Nebula de Frank Herbert Dune . Incorporant l'utilisation de l'échelle qui a fait les heptapodes de Arrivée , ainsi que les araignées de Ennemi , se sentent incroyablement réalistes, le réalisateur Villeneuve et le superviseur de la production VFX Paul Lambert ( Coureur de lame 2049 ) a transmis la monstruosité sablonneuse avec un réalisme saisissant.
La gueule râpeuse de cette bête redoutable, recouverte de fanons en forme de peigne, s'inspire fortement des baleines et de la lamproie. Une attention particulière a été accordée non seulement à l'apparence du ver, mais aussi au mouvement et à l'action entourant le ver. Il produit des tremblements de terre massifs qui forcent des sillages ondulants de sable à se disperser sur le sol du désert alors qu'il s'enfouit sous le terrain. Le détail attentif de ses conséquences destructrices se traduit par un monde qui se sent vraiment vécu.
Sujet 99 (V/H/S/94)
De l'esprit tordu derrière le segment infâme Havre de sécurité , le réalisateur Timo Tjahanto revient sur le V/H/S série avec une expérience loufoque concoctée pour étancher la soif de sang du public. Dans Sujet 99, un scientifique fou kidnappe des citoyens innocents d'Indonésie et les mutile en horribles hybrides mécanisés tels qu'une tête humaine avec l'anatomie cybernétique d'un arachnide. Le court métrage anthologique dérangé éclate dans une frénésie de chaos d'action-horreur alors que les cobayes post-humains sont opposés à une équipe de policiers blindés.
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Le point de vue de style FPS est un dispositif de cadrage narratif inspiré qui s'enroule insidieusement dans l'intrigue sinistre comme une bande s'enroulant autour du tambour d'une cassette vidéo. Le segment est filmé à travers le POV d'une femme appelée 'Sujet 99', défigurée en un caméscope mi-humain mi-humain. Au milieu du carnage, elle a un aperçu dévastateur de son reflet, reflétant habilement le public désensibilisé.
Gabriel (malin)
En discutant du film Malin et le mystérieux antagoniste en son cœur, le terme le plus souvent utilisé est 'bonkers'. Évaluation juste. La version moderne de James Wan sur le Giallo est tellement exagérée que la seule réponse logique est des éclats de rire nerveux.
Un élément paranormal est taquiné tout au long alors que la protagoniste, Madison, découvre un «lien» entre elle et un meurtrier vicieux du nom de Gabriel. Cependant, dans une révélation du troisième acte qui fend la tête, Gabriel s'avère être une tumeur de tératome qui partage un cerveau et une moelle épinière avec Madison. Gabriel se tord effrayant le dos et les appendices lorsqu'il prend le contrôle total de la physiologie de Madison. Avec ses mouvements troublants, le tueur étonnamment acrobatique abat une cellule de prison entière dans une séquence qui est garantie de laisser les mâchoires désarticulées.
Raâtma (V/H/S/94)
La fonctionnalité de créature macabre, 'Storm Drain', présentée dans le dernier épisode de la populaire série d'anthologies d'horreur V/H/S aura des téléspectateurs se précipitant comme un rat hors de l'enfer. D'autres salueront Raatma en regardant le rongeur humanoïde avec dégoût et joie.
Le monstre ébouriffant a été conçu par Keith Thompson ( Personne ne sort vivant ) et engendré dans les égouts par l'artiste VFX Patrick Magee. Avec ses yeux perçants, son crâne allongé et son sourire incroyablement large, il est difficile de détourner le regard de son design pratique mortifiant mais fascinant. Et si être un cauchemar d'albâtre crachant de la glu n'était pas assez malveillant, Raatma est livré avec un culte religieux dévoué.
Wendigo (bois)
La tragédie consume une petite ville de l'Oregon lorsque la fermeture d'une mine affecte largement ses citoyens, en particulier pour le jeune Lucas, son frère et leur père qui cuisine à la méthamphétamine. Bois , du réalisateur Scott Cooper et Guillermo del Toro, est un drame d'horreur déchirant qui explore le thème de la violence domestique, montrant jusqu'où certains sont prêts à aller au nom de la famille.
Grief prend la forme d'une entité surnaturelle vorace basée sur le « Wendigo », un esprit nord-américain malveillant qui rassasie sa faim en possédant les gourmands. Des effets de maquillage grotesques utilisés lors de la transformation progressive de la légende cornue au mélange terrifiant d'animatronique et de CGI utilisé pour créer l'évolution finale, le monstre au centre de ce refroidisseur atmosphérique est le plus sinistre de l'année. L'image du visage de papa accroché au crâne du Wendigo comme un 'masque de peau lâche' restera gravée de façon permanente dans le cerveau.
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